lundi 12 janvier 2015

Charlie suite ....

"L'absence d'humour est l'une des caractéristiques distinctives de la barbarie."
Bill Leak, dessinateur australien



"J'avais des liens, oui, mais je les ai coupés avec tous les groupes islamistes", a déclaré l'Imam Ahmed Akkari au journal Ekstra Bladet.



"Un élève a été tabassé par d'autres dans un lycée de Châteauroux après avoir publié des messages sur les "valeurs de la République" sur Facebook."


Caroline Fourest: "...concept pourri d'islamophobie... parlons  d' anti-musulmans,  oui..." 







La justice doit pouvoir condamner  à être "traçable" par bracelet, puce, fichier, trace numérique.... 

Mais c'est un juge et non un policier ou un politique qui doit le décider.

Mais, personne ne doit être "traçable"  en dehors de ce cadre.   
          
Attention!
 La frontière est mince!




 Raef Badaoui tenait le blog Liberal Saudi Network (aujourd’hui fermé), un espace de forum et de débats, critique envers la police religieuse et certains édits islamiques. Le jeune homme, musulman, mettait sur la table la question de la laïcité et de la liberté d’expression. «Dès qu’un penseur commence à exposer ses idées, on peut trouver des centaines de fatwas l’accusant d’être un infidèle, simplement parce qu’il a eu le courage de discuter de certains sujets sacrés», faisait-il par exemple remarquer sur son blog. «Je suis vraiment inquiet à l’idée que les penseurs arabes puissent migrer ailleurs pour trouver de l’air frais et échapper au glaive des autorités religieuses.» Ou: «La laïcité est le meilleur refuge pour les citoyens d’un pays.» L’un de ses posts a été traduit en anglais. Un post d’un autre chroniqueur suggérait que l’université islamique de l’imam Mohamed ibn Saud, à Riyad, était devenue un «nid à terroristes». En Arabie Saoudite, où seule la plus stricte application de l’islam sunnite est tolérée et l’apostasie passible de la peine de mort, de tels écrits suffisent à déchaîner les foudres des autorités.



On continue de torturer et de tuer...
des musulmans...
dans le monde
au nom de l'Islam, 
avec l'argent du pétrole...



Le Haut Conseil à l'intégration fondé par Michel Rocard s'est prononcé à ce sujet en 2003 lorsqu'il a rappelé unanimement que :
  1. En République, la critique de la religion, comme de toutes les convictions, est libre
  2. Elle est constitutionnellement garantie et fait partie de la liberté d'opinion et d'expression.
  3. Elle ne saurait être assimilée au racisme et à la xénophobie





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