jeudi 14 mars 2013

L'école centrée sur quoi?

L'école centrée sur l'enfant?

L'enfant peut exister sans l'école.

L'école peut exister sans enfant , elle s’appelle , alors, "supérieure".

Les enseignants peuvent ils exister sans école?

Mais,  l'école n'existe pas sans enseignants.

L'école est une institution.

Il y a divorce , trop souvent,  entre cette institution et les enseignants.

Ceux qui gèrent les institutions font , depuis environ 20 ans, comme si on pouvait diriger  l'école sans les avis des enseignants.

Ce sont bien les enseignants qui , normalement, ont une liberté pédagogique.

Ce sont eux qui définissent leurs pédagogies  ou leurs stratégies éducatives.

Les parents y adhèrent ou non.

L'enfant, lui peut aimer ou ne pas aimer ce qu'ont lui propose.

Mais, il doit aller  à l'école contraint ou avec envie.

C'est la où se différencient les "pédagogies" qui, elles,  sont centrées sur l'enfant ou non . 

Souvent les pédagogies sont centrées sur les matières enseignées, digestes ou indigestes pour l'enfant.

Cette simple différence de "centrage"  creuse un abîme entre le primaire et le collège.... Pour le combler,  le primaire copie le collège, comme la maternelle est quelque fois appelée à copier l'élémentaire.

Mais, cela n’intéresse personne.



samedi 9 mars 2013

Près de chez moi

A trente kilomètres de Paris... 


A Sénart, dans les lacs, des oiseaux migrateurs font une pause...

Mon chien, Eliot, les pieds dans l'eau, regarde cols verts, bernaches, foulques et cygnes.
Ces derniers sont à demeure toute l'année.


Le printemps arrive...

jeudi 7 mars 2013

Le mur des retraites

Les retraites coûtent trop cher. (à qui et pour qui?)

Il faut réformer... Une fois, deux fois, trois fois... Et, on revient à la case départ...


L'avenir est à l'innovation, à la recherche de nouvelles idées, qui tiennent compte de chacun et de toute la planète....


Pourquoi une règle uniforme?

Pourquoi pas,  une retraite à la carte, selon ses moyens, selon son état, selon ses possibilités.

L'ouverture des "droits" à 55 ans et un âge limite de départ à 68 ans serait la règle et le reste serait personnalisé. 


On pourrait travailler à 90% du temps, puis à 80%,  puis 70%, 50%, 20%, et même 10%  près de l'âge  limite. 

C'est faisable avec une bonne calculette et  la devise mutualiste; "chacun donne selon ses moyens et reçoit selon ses besoins..".

Est  ce impossible?