mercredi 28 novembre 2012

La rupture

Sarkosy avait inventé pour 2007 , la rupture.
La rupture.... avec le Chiraquisme...? avec le gaullisme..?.

Hé bien non , c' était la fracture de l'UMP...

La rupture , c'est la fracture.
Avec karchers et pains au chocolats pour emblèmes....


Et maintenant, il voudrait en être le sauveur?....

samedi 24 novembre 2012

L'orthographe de l'UMP

Il a une faute d'orthographe dans la COCOE; il manque un P.
Elle devrait s'écrire la.  CO COPE.
N'est ce pas?

mercredi 14 novembre 2012

Reportages sans reporter

De plus en plus souvent, à la télévision, que regardent des millions de Français ,  les reportages sont en voix off, sans nom , sans signature et sans photo du reporter.

Les reporters sont devenu si courageux de leurs opinions qu'ils ont besoin de se cacher et de rester anonymes.

Ce type de reportage "courageux" est de plus en plus fréquent , aussi, sur les chaines publiques ou d'état.

Ce procédé est inadmissible, surtout quand ce reportage commente des paroles d'une personne politique ou non, souvent syndicaliste, qui lui est visible avec nom et photo.

Le reporter anonyme, juge les propos de cette personne visible, mais lui reste caché.

Cela est indigne d'une démocratie.

Il en est de même pour les "sondages" commentés en voix off. Les journalistes "courageux"  utilisent la partie émergente d'une enquête d'opinion, plus complexe, pour la "traduire" aux téléspectateurs "idiots" en binaire ; pour ou contre.
Ces journalistes , qui ne sont pas des sociologues,  ne parlent pas de l'échantillon représentatif (ou non) de l'enquête, de l'acheteur de ce "sondage", des non réponses ou des réponses autres.

Bref, "on"  fait la morale au téléspectateur "imbécile" et "on" lui dit quoi penser.

Ce "on" , ce sont en principe, des gens qui auraient fait des études de journalisme?

Alors, la formation du métier de journaliste, serait à revoir.  Sans parler de la perpétuelle chasse au scoop. Cela , fait aussi, parti de ce qu'on apprend dans les école de journalisme?

Il faudra , alors, passer aussi, par "une refondation" du métier.